L. Bosc, Mémoires pour servir à l'histoire du Rouergue, p.180, 1797.

B. Jules and . Le, les maîtres de chapelle et musiciens du choeur, les organistes de la cathédrale de Saint-Louis de Blois, 1907.

. Reprint-genève, Minkoff, 1972 ? Souvenirs de l'ancien régime, pp.1750-1760, 1903.

B. Jacques, L. Rouergue-au-premier-moyen-Âge, T. I. , and R. , Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, 1992.

C. Abbés and . Bourdon, Histoire de la maîtrise de Rouen, 1892, reprint Minkoff, 1972.

K. Yves and L. Grandes-orgues-de-la-cathédrale-de-rodez, Étude historique et technique, s. l., s. d, 1986.

S. Pierre-le-doré, se dirigeait vers les rues de Flandres et de Bonneval, passant devant la maîtrise qui était adossée à la maison capitulaire, Après la Révolution, elle est achetée par les soeurs de Notre-Dame

L. Bosc, Mémoires pour servir à l'histoire du Rouergue, p.180, 1797.

R. Dame-de, ADA/ 3 G 59, f. 2-3), ici reproduit en annexe, p.35, 1558.

Y. Koenig, Les grandes orgues de la cathédrale de Rodez : Étude historique et technique, s.l, pp.344-361, 1948.

A. Luis-de, 22 sept. 1656), organiste et facteur d'orgue espagnol, surnommé le « rossignol charmant de Louis XIII », occupa divers postes d'organiste en France (Marseille, Béziers, Narbonne?) et supervisa, à Paris, la restauration de l'orgue de St, Il est nommé à Rodez le 13 septembre 1648, 1626.

A. Boat, Béziers 21 août 1710), appartient à une famille d'organistes et facteurs d'orgue qui exercent en Languedoc. Fils de François, venu de Béziers à Rodez, en 1634 comme chantre du chapitre, il fait ses études à la maîtrise de Béziers et, en 1655, succède à Luis de Aranda à la tribune de la cathédrale de Rodez, jusqu'en 1657, puis il revient de septembre 1668 à février 1681

. Prébendé-d-'origine-madrilène, Hiérosme di Soto (major) occupe la tribune de la cathédrale de Rodez à partir de septembre, 1657.

. Cf, paragraphe « l'apprentissage instrumental : l'orgue

P. Guaydon, signe un bail avec le chapitre de Rodez le 6 janvier 1638 ; en 1647 il est maître de musique de la cathédrale d

. Le-musicien-gres-fut-engagé-par-le-chapitre-de, Rodez en août 1725 : « Le sieur Gres joueur de la basse de viole a été reçu à la musique aux gages de quinze livres par mois, à condition qu'il y jouera tous les jours qu'il y aura musique et à la charge qu'il se comportera au choeur avec la modestie et descence requise et qu'en cas par des excès de boire il y donne aucun scandalle? il sera cassé aux gages, p.259

G. Bouzignac and . St, Nazaire d'Aude ?, ca 1587-ap. 1665), il occupe le poste de maître de la

J. Chevallier, Il est également organiste. La date de son arrivée à Rodez n'est pas connue mais il quitte cette maîtrise pour celle de Toulouse en 1738, où il reste jusqu'en 1743 ; il est maître à Reims, Beauvais (1749) et Blois (de 1750 à 1760) ; cf. Jules Brosset, Le grand orgue, pp.1750-1760, 1745.

. Il-s-'agit-d-'un-te-deum-«-en-sinfonie, pour la paix (1739) écrit alors qu'il est maître de musique de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (mais que je n'ai pas trouvé à la bibliothèque municipale de Toulouse), un Cantique sur la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ (1741) (dont la bibliothèque municipale de Toulouse conserve trois exemplaires du livret (Br Fa C 332, ) fond anc. 2 ; Br Fa C 455)) et un Jubilate Deo (sd), peut-être perdu

N. Henrys, maître de musique de Rodez à partir du 1 er avril 1750 ; en 1752 il part pour Verdun, où il est nommé le 22 septembre 1753

. Pour-la-paix-d, Aix-la-Chapelle, un Te Deum est décidé le mardi 4 mars 1749 et joué le dimanche suivant, avec une « procession en musique » [cf

G. Broc and (. Rodez, 1619) ; par testament, le 12 octobre 1619, il lègue à la maîtrise de Rodez « toutz les libres, grandz et petitz cayers de la Muzique en sa possession » [cf

. Ferrand, où il apprend à jouer du serpent, il est musicien à Narbonne (1772), puis chantre à Saint-Nazaire de Béziers pendant 5 ans, puis sous-maître à Agde, pp.1782-1785