«. Clermont-ferrand and . Erga, Cet article a notamment constitué pour moi, dans un domaine de recherche qui m'est peu familier, un guide bibliographique précieux, pp.259-279, 2013.

X. Métamorphoses, 623-771) ou le désir d'hybridité dans la métamorphose, Ovide. Figures de l'hybride. Illustrations littéraires et figurées de l'esthétique ovidienne à travers les âges, pp.623-771, 2009.

I. Métamorphoses, Mihi, crede, places. » Pauet illa metuque / et colus et fusi digitis cecidere remissis Nec longius ille moratus / in ueram rediit speciem solitumque nitorem ; / at uirgo, quamuis inopino territa uisu, / uicta nitore dei posita uim passa querella est Je suis, dit-il, celui qui mesure le cours de l'année, celui qui voit tout et par qui la terre voit tout, l'oeil du monde. Crois-moi, tu me plais Leucothoé tremble ; dans son émoi, sa quenouille et ses fuseaux, échappant à ses doigts, sont tombés à terre. La crainte même rehausse encore sa beauté. Sans plus attendre, son amant a repris sa véritable forme et sa splendeur ordinaire ; alors la jeune fille, quoique effrayée par cette apparition soudaine, vaincue par l'éclat du dieu, cède à sa violence, Ille ego sum » dixit « qui longum metior annum Ipse timor decuit, pp.226-233, 1925.

.. J. 13-cf and «. L. Fabre-serris, être et les figures : une réflexion sur le récit dans le récit chez Ovide, ) », LALIES, 6, pp.622-771, 1984.

. Tu, uiuo sublime dedisti / nomen, ab exequiis quod dare fama solet, pp.121-122, 1968.

. Ibid, XXII, 1. 26 Métamorphoses, III, 155-162 et en particulier 158-159 : arte laboratum nulla ; simulauerat artem / ingenio natura suo (« rien n'est une création de l'art ; mais le génie de la nature a imité l'art »)

I. Ibid, Car il a bien raison, celui qui a déclaré que nous avons quelque chose de semblable aux dieux, en nommant la bienfaisance et la vérité Puisque aussi bien c'est à toi que s'adresse cet écrit, mon très cher ami, toi qui es un maître de la culture, je suis tout à fait délivré d'avoir à consacrer beaucoup de temps à établir en principe que le sublime est en quelque sorte le plus haut point, l'éminence du discours, et que les plus grands poètes et prosateurs n'ont jamais tenu le premier rang d'un autre lieu que de là ; et que c, pp.3-4

J. Le-mot-est-employé-par, 48 Traité du Sublime, XLIV, 8 p. 15. 50 J'ai récemment proposé un état bibliographique aussi exhaustif que possible de la question dans « Présence d'Ovide dans l'OEdipe de Sénèque : formes et significations, PIGEAUD à propos du Traité du Sublime dans son introduction qui fait la jonction entre Ovide, l'auteur du Traité et Sénèque, certes dans une tout autre perspective que la mienne (cet article a été publié en 2006 dans la revue en ligne Interférences -Ars scribendi, 2015.

. Il-s-'agit-là,-je-le-précise,-d-'michel, une simple ouverture, destinée à enrichir la réflexion et dénuée de toute prétention à l'exhaustivité. Je remercie le comité éditorial de la revue Euphrosyne, par la voix de l'un des rapporteurs de cet article, de m'avoir rappelé l'importance, en ce qui concerne le sublime chez Sénèque, de la fin du De tranquillitate animi Je le remercie également de m'avoir incitée à rappeler que la réflexion critique sur ce sujet est abondante et déjà ancienne

». Sénèque-et-le-sublime and . Gif, qui montre non seulement la présence, mais la puissance unificatrice du sublime dans l'oeuvre de Sénèque ; les riches discussions entre G. MAZZOLI et A. SETAIOLI à partir de l'article du premier, « Seneca e il sublime, Dicibilità del sublime La tradizione dei versi di Cleante a Zeus e al Fato, pp.245-257, 1969.