. H. Cf, Ovid : A Poet between Two Worlds, Cf. Mét, pp.110-156, 1932.

. A. Cf, V. Barchiesi, «. Gély-gherida, and . Psyché, Narrative Technique and Narratology in the Metamorphoses » (dans The Cambridge Companion to Ovid, pp.180-199, 2002.

-. Néraudau and J. , Plus loin (ibid Néraudau ajoute : « le miroir où les Métamorphoses devraient se refléter en miniature n'est pas déformant : bien pis, il ne renvoie rien de l'image placée devant lui, Cf. aussi M. Boillat, Les Métamorphoses d'Ovide. Thèmes majeurs et problèmes de composition, pp.68-94, 1976.

». Mét, XV, 147-148 ; cf. aussi les v. 62-63, 69 et 143, qui font apparaître Pythagore comme un familier du monde divin) le sera pour le poète-narrateur en des termes presque similaires (super alta perennis / astra ferar, « je serai transporté, immortel, très haut au-dessus des astres, 36 Remarquons que le souhait non exaucé de Pythagore, pp.875-876

. Cf and M. Également-le-lien-Établi-par, Detienne entre le mythe du phénix et les habitudes alimentaires des Pythagoriciens (Les Jardins d'Adonis, pp.57-68, 1972.

. Le-phénix-sera-ainsi-Évoqué-À-la-fin-du-carmen-de-aue-phoenice, 169-170) : Est eadem sed non eadem, quae est ipsa nec ipsa est, / aeternam uitam mortis adepta bono. (« Il est le même et non le même, lui qui est lui-même et non lui-même, ayant atteint grâce à la mort une vie éternelle, Sur ce poème et son rapport avec ses sources ovidiennes, cf. É. Delbey, « L'élégie De aue phoenice?

. R. Cf and . Galvagno, Le Sacrifice du corps. Frayages du fantasme dans les Métamorphoses d'Ovide, Panormitis, 1995. 68 On pourrait dire aussi, avec P. Maréchaux, que le poète doit, pour se définir, dépasser tant l'échec d'Écho, qui se perd dans l'altérité, que celui de Narcisse, pp.180-182

. M. Cf and . Detienne, Les Jardins d'Adonis, en particulier p. 49-57 ; et, sur ces aromates, P. Faure, Parfums et aromates de l'Antiquité, 1987.

. Ibid, On comparera en particulier l'énumération établie par Ovide au début de ce récit (ibid., X, 307-310 : sit diues amomo / cinnamaque costumque suum sudataque ligno / tura ferat floresque alios Panchaia tellus, / dum ferat et myrrham, « qu'elle soit riche de l'amome, qu'elle porte le cinname, le costus, l'encens distillé par le bois et d'autres fleurs, la terre de Panchaïe, pourvu qu'elle porte aussi la myrrhe ») et les aromates évoqués à propos du phénix ; la frappante ressemblance des deux listes nous semble corroborer le caractère métalittéraire de la seconde, pp.298-502

. Ibid, autre règne et, en me métamorphosant, refusez-moi et la vie et la mort. » 76 Ibid On remarquera qu'Ovide, en évoquant d'abord « les larmes de l'encens » (turis lacrimis, ibid., XV, 394), puis la myrrhe (murra, ibid., XV, 399), produit des larmes de Myrrha (ibid., X, 499-502), ajoute la contaminatio à l'allusion, ce qui confirme la nature métapoétique conférée ici aux deux substances. 77 On comparera en particulier les v. 400 (finitque in odoribus aeuum, « et <il> termine sa vie dans les parfums, Cum uolet, illa dies, quae nil nisi corporis huius / ius habet, incerti spatium mihi finiat aeui, « Quand il le voudra, que ce jour qui n'a de droits que sur mon corps mette un terme à la durée incertaine de ma vie »), pp.486-487

P. Mei, « dans la meilleure partie de moi-même » (ibid

I. Tristes, / sed quasi de domini funere rapta sui. / Quicquid in his igitur uitii rude carmen habebit / emendaturus, si licuisset, eram. « Qui que tu sois qui touches à ces volumes orphelins de leur père, qu'au moins, dans votre ville, leur soit donné un asile ; afin que tu leur sois plus favorable, je précise qu'ils n'ont pas été publiés par leur auteur, mais comme arrachés à son cadavre. Tous les défauts que l'on trouvera à ce poème qui n'a pas été retravaillé, j'avais l'intention de les corriger, si j'avais pu le faire. » 82 III At sacri uates et diuum cura uocamur ; / sunt etiam qui nos numen habere putent. / Scilicet omne sacrum mors inportuna profanat, omnibus obscuras inicit illa manus. (« Pourtant, nous les poètes, on nous appelle des êtres sacrés, aimés des dieux ; il y en a même qui nous attribuent un pouvoir divin. La vérité, c'est que la mort intraitable profane tout ce ce qui est sacré, qu'elle étend sur tous ses sombres mains. »), pp.35-40

. Mét and . Xv, Dans ses dernières oeuvres, Ovide définira plusieurs fois la relegatio comme une position intenable de l'être, suspendu, comme Myrrha (cf. supra, p. 10, n. 8), entre le monde des vivants et le monde des morts (cf. par exemple Tristes, III, 3, en particulier le v, ingenio perii Naso poeta meo, « moi, le poète Nason, j'ai péri par mon talent »)

R. Amours and . Ii, (« oiseau toujours seul de son espèce ») et Mét, pp.54-392